message du 08/01/20

 

Moi: Bonjour. Je vais etre directe ce soir : Suis je addict de vous ?

Réponse : Ahah ! Addict de moi OU de toi?

M: Bref, ça peut faire rire mais  est-ce possible que je sois dépendante de nos conversations quasi quotidiennes qui me font tant de bien (alors que je vais déjà super bien ! )

R: Oui, c'est fort possible Agnola mais ce n'est pas si grave que ça. Bien des personnes sont attirées par cette addiction qui en fait n'en est pas une. Certains hommes l'appellent tout simplement la foi.

M: Bon, ok on va dire que j'ai la foi mais ça ne me satisfait pas vraiment. Je connais des personnes qui ont la foi et..

R: ..Gardez le cœur et l'esprit ouvert aux révélations.

M: Voilà, c'est ce genre de phrase que j'entends qui me donne l'impression d’être addict à ce que je fais.

R: Rassure-toi, Agnola, tu n'es pas addict mais très passionnée, c'est différent.

M: Ah ! ça me soulage et me convient effectivement. Par moment, je me dis que ce n'est pas vraiment normal, ce que j'écris.

R: C'est ta vérité?

M: Mais qu'est-ce que la vérité, réellement?

R: C'est ce qui t'anime, ce qui résonne en toi.

M: Ma vérité aujourd'hui, (car elle a changé plusieurs fois au cours de ma vie) est que je suis souvent pressée de me retrouver seule avec moi-même, pour recueillir les messages que je reçois grâce à vous. On pourrait penser que je suis seule, et que je m'ennuie et bien même pas ! J'ai une vie très remplie avec mon mari, mes deux enfants ( qui ne sont plus à la maison, certes), mes 2 animaux de compagnie, mon travail de gouvernante, mon travail de thérapeute, les livres que j'écris, je fais également partie d'une association qui me prend pas mal de temps aussi, bref, malgré tout ça, je trouve toujours au moins 30 minutes pour méditer et capter nos communications.

R : C'est tout?

M: Non, c'est pas tout. A chaque fois, j'ai pleins d'idées, de choses qui bouillonnent dans ma tête et c'est pourquoi, je pense avoir besoin de les poser par écrit avec vous.

R: Même si tu es bien, tu te sens mieux là, non?

M: Tout à fait ! Dès que je commence à écrire, cela me remplit de joie intense et unique, donc je vais arrêter.

R: Tes doigts continuent pourtant de jouer sur le clavier de l'ordinateur..

M: Oui, et bien, c'est bon, je stoppe. Bonsoir

R: A bientôt, Agnola