Message reçu le 19 juillet 2010
M : ( Je ressens immédiatement une vibration douce et féminine. Le prénom Alice me vint aussitôt à l'Esprit.) Alice ?
R : Peux tu m'aider à régler un problème aussi sérieux ?
M: De quel problème parles tu ?  Es tu seule ? je te sens accompagnée ?
R : Un guide m'accompagne pour te parler avec un vocabulaire que je ne saisis pas toujours. Je veux te parler du cancer. Ma vie a changé brusquement. Ils ont été impuissant à me guérir.  Mon coeur est usé. Cortège funéraire. Signes de croix. J'ai tout vu, il le fallait. Je cherche à être comprise, j'ai l'impression d'être un Soleil.
R : J'ai une soeur . Gym, footing, fée clochette, aimant les desserts sucrés. Un peu un  coté garçonne, ma mère a du caractère et a de grandes notions de partage. ;) ! Je vois une photo posée de moi dans la chambre de maman. Je voudrai leur dire que là où je suis, je suis guérie mais je veux leur parler. Je les aime Tous.
M : Tu es partie ?
R : Non, elle est près de nous. Je veux te parler de son père.La référence  de son père  est ce qu'il sait, ce qu'il fait, ce qu'il a établit et ce qu'il a appris. Cette mission n'est pas simple pour toi mais suggére lui une piste à exploiter, qui, s'il décide de la suivre le conduira vers une sortie. Il a vécu un état douloureux qu'il ne veut plus et c'est normal.
M : Je comprends. Il me semble que ce à quoi il croit ou ne croit pas,  correspond à un besoin  dans lequel il a trouvé ou non un sens à donner aux choses et aux évènements. Ce sens  dépend de son histoire personnelle. Ce sens l'arrange et l'aide à survivre. La croyance n'exclut en rien l'idée qu'elle puisse être une projection d'idées auxquelles il croit ou ne croit pas.  Par contre, un enfant qui n'a pas d'a priori sur une situation, ne peut l'imaginer... je sais bien que tout est relatif et chacun a sa vérité et sa réalité.